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Les chiffres sont éloquents. En Suisse, un jeune sur deux déclare avoir déjà subi au moins une fois du harcèlement sexuel en ligne (étude JAMES 2022). Il ne…

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Lors de sa séance du 26 juin 2024, le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la première étape de la nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les…

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Metta fin al mobing : c’est du romanche. Notre campagne contre le harcèlement et le cyberharcèlement « Not a joke » sera menée pour la deuxième fois ces…

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Qu'est-ce qui a occupé l'équipe de Jeunesse et Médias 2023 ? Que prévoyons-nous pour l'année à venir ? C'est ce que nous avons résumé ici pour vous.

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| Ella Müller | Bettina Bichsel

À l’âge de 13 ans, ma fille a été victime d’abus sexuels sur Internet. La peur d’avoir commis une infraction s’ajoute à la honte et à l’expérience de la…

| Bettina Bichsel

Les sexfluencers parlent ouvertement de plaisir et de frustration, il suffit d’un clic pour lancer un porno et l’anonymat d’Internet permet de poser toutes les…

| Bettina Bichsel

Pour beaucoup de jeunes, Discord est la plateforme pour échanger en ligne. En tant qu’adulte, on se retrouve à se demander : Discord, mais qu’est-ce que c’est ?…

| Bettina Bichsel

Le nouveau droit pénal en matière sexuelle est en vigueur depuis le 1er juillet 2024. Ces nouveautés concernent notamment les jeunes, par exemple sur la…

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[Liens avec l'étude menée aux Pays-Bas et avec l'article de la RTBF "Une récré avec TikTok ? Les smartphones sont de...

[Liens avec l'étude menée aux Pays-Bas et avec l'article de la RTBF "Une récré avec TikTok ? Les smartphones sont de plus en plus bannis des écoles en Europe" dans notre bio] ▶ Une étude menée par l'Institut des sciences comportementales de l'Université Radboud a examiné l'impact de la politique "à la maison ou dans le casier" dans 2 écoles néerlandaises. 984 élèves, 300 parents et 40 enseignants ont été sondés. Les chercheurs ont identifié six catégories principales dans les réponses des élèves: pratique, fonctionnement cognitif, autonomie, socio-émotionnel, bien-être et divertissement. Les résultats montrent une divergence marquée entre les perceptions des élèves et celles des adultes. Les élèves ont vu leur appréciation de la politique chuter après l'interdiction. Ils ont exprimé des inquiétudes concernant la perte d'accès aux informations pratiques comme les horaires et les rendez-vous, ainsi que la difficulté d'être joints en cas d'urgence. Les élèves plus âgés, en particulier, ont ressenti une perte d'autonomie. 💡 Bien que certains aient noté une réduction du #harcèlementenligne pendant les heures de cours, d'autres ont signalé une possible augmentation des conflits en face à face. Les opinions sur les pauses étaient partagées, certains se plaignant d'ennui tandis que d'autres appréciaient l'activité accrue. En revanche, les #parents et les #enseignants sont devenus plus favorables. Ils ont observé moins de distractions en classe et plus d'interactions sociales, bien que certains aient noté des difficultés d'adaptation chez certains élèves. 👉L'étude conclut que la mesure semble bénéfique pour la #socialisation et l'activité physique, mais son impact sur la #santémentale varie selon les individus. Les chercheurs recommandent une approche personnalisée pour accompagner ce changement. Ils soulignent également l'importance d'impliquer les élèves dans la conception de telles politiques pour favoriser leur adhésion et leur compréhension. D'autres recommandations incluent une surveillance du bien-être des élèves, une collaboration entre l'école et les parents pour assurer la cohérence des règles, et une attention continue à l'#éducationnumérique.

[Lien avec le communiqué de Promotion Santé Suisse et les ressources citées ci-dessous, dans notre bio]

▶ [Extraits] La...

[Lien avec le communiqué de Promotion Santé Suisse et les ressources citées ci-dessous, dans notre bio] ▶ [Extraits] La journée mondiale de la prévention du suicide est l’occasion de rappeler l’importance d’aborder cette problématique de santé publique. Le recours à une aide professionnelle lors de la survenue de #penseessuicidaires est encore loin d’être systématique : seule une personne sur trois y fait appel et plus de 50% des personnes ayant fait une #tentativedesuicide ne bénéficient pas d’un suivi professionnel par la suite. En réponse à ces défis, Promotion Santé Suisse joue un rôle actif dans la mise en œuvre du Plan d'action national pour la #préventiondusuicide, initié en 2016 en collaboration avec l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), les cantons, et d'autres partenaires. (...) 💡 Le projet SERO a pour objectif d'optimiser l’autogestion en cas de #risquesuicidaire, d'augmenter l’auto-efficacité des personnes présentant un risque de suicide ainsi que de leurs proches. 💡 Les projets ASSIP (Attempted Suicide Short Intervention Program), proposent une psychothérapie brève et efficace soit en milieu hospitalier, soit au domicile des personnes qui ont fait une tentative de suicide et qui n’étaient jusqu’à présent pas atteignables.. ❗Les ressources d’aide 👉 L’association Stop Suicide, @stopsuicide.ch, quant à elle, offre des conseils pour les personnes concernées et les proches inquiet-ète-s et oeuvre pour la prévention du suicide chez les moins de 30 ans, et lance sa campagne #LÀPOURTOI2024. 👉 Le site parler-peut-sauver.ch et les lignes téléphoniques de la Main Tendue (143) sont à disposition des personnes ayant des pensées suicidaires, des proches et des personnes en deuil. @santepsy.ch permet de s’informer sur la santé mentale et de trouver les ressources nécessaires dans sa région. 👉 Pour les jeunes, @ciao.ch et @ontecoute.ch sont des plateformes d'échange et permettent de poser ses questions à des professionnel-le-s. La ligne téléphonique de @projuventute_suisse, au @147_suisse, est à privilégier en cas de pensées suicidaires.

[Lien avec l'intégralité de l'article de Sara Belgeri pour @blick_fr, dans notre bio]

▶ [Résumé] Une nouvelle tendance...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Sara Belgeri pour @blick_fr, dans notre bio] ▶ [Résumé] Une nouvelle tendance inquiétante se répand chez les jeunes couples : le partage constant de leur localisation via des applications comme Snapchat ou Life360. Cette pratique, censée rassurer, engendre souvent des conflits et de la méfiance. Alina, 17 ans, surveille constamment la position de son petit ami, tout comme ses amies. Elle justifie ce comportement par l'inquiétude et non le manque de confiance. Cependant, cette habitude provoque des disputes lorsque l'un des partenaires ne communique pas ses déplacements. Ronnie, également âgé de 17 ans, témoigne que cette #surveillance mutuelle créait un sentiment de devoir se justifier en permanence, même sans rien à cacher. Il souligne la difficulté de rétablir la confiance une fois la méfiance installée. ❗ Cette forme de contrôle, appelée "#monitoring", est considérée comme une forme de violence dans les relations. L'étude "Zurich Youth Survey 2021" (ZYS 2021) révèle qu'environ la moitié des jeunes ont déjà contrôlé le téléphone de leur partenaire ou subi ce type de surveillance. Le phénomène s'étend au-delà des couples, touchant également les groupes d'amis. Les jeunes ressentent une pression pour partager constamment leur localisation, craignant d'être suspectés de cacher quelque chose s'ils ne le font pas. Selon Marco Bezjak, animateur jeunesse, ce comportement fait partie de l'exploration adolescente des notions d'amitié, d'amour et de fidélité. Cependant, les technologies modernes ont amplifié son impact. 👉 Margareta Hofmann, thérapeute de couple, met en garde contre les conséquences négatives de cette pratique sur la construction d'un lien stable et de confiance. Elle explique que ce #besoindecontrole peut provenir de la #jalousie, de la peur de blesser l'autre ou d'un désir mal placé de prouver son amour. 👉 Cette surveillance constante limite la sphère privée, l'autonomie et la liberté individuelle, générant stress et contraintes. Ces effets néfastes concernent non seulement les jeunes, mais aussi les adultes qui adoptent ce comportement. #viedecouple #ConflitsDeCouple #jalousieamoureuse

[Lien avec l'intégralité de l'article de Evan Giret, Doctorant en psychologie, Université de Lorraine, pour...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Evan Giret, Doctorant en psychologie, Université de Lorraine, pour @theconversation.fr, dans notre bio] ▶ [Résumé] Mesurer l'impact réel des réseaux sociaux s'avère complexe en raison de nombreux défis. L'évolution constante des plateformes rend rapidement obsolètes les résultats des études antérieures. De plus, la plupart des recherches se concentrent sur les effets globaux sans tenir compte des différences interindividuelles ou des fonctionnalités spécifiques. Cette confusion analytique peut mener à des attributions erronées des effets observés. La diversité conceptuelle entre chercheurs concernant les définitions des réseaux sociaux, du bien-être ou de la santé mentale complique davantage l'analyse. Les indicateurs technologiques et de santé mentale étudiés varient considérablement, influençant les résultats obtenus. L'utilisation de données auto-déclarées, souvent imprécises, accentue l'opacité entourant la compréhension des effets réels. Les différences disciplinaires engendrent également des résultats divergents. Les études en psychologie rapportent plus souvent des effets négatifs, tandis que celles en communication soulignent davantage les aspects positifs. Cette diversité de points de vue peut conduire à une lecture partielle du phénomène. Les défis méthodologiques constituent un autre obstacle majeur. La plupart des études offrent des niveaux de preuve peu robustes pour établir des relations causales claires. De nouvelles approches, comme l'évaluation écologique momentanée (EMA), tentent de pallier ces limitations en capturant l'expérience vécue en temps réel. 👉 Face à ces nombreux défis, il est essentiel d'aborder la question des effets des réseaux sociaux avec prudence. Des méta-analyses récentes indiquent que leur utilisation n'explique qu'une faible proportion de la variabilité du bien-être individuel. Les effets semblent varier considérablement selon les personnes, les plateformes et les contextes, soulignant la complexité et la diversité de ce phénomène en constante évolution. #ReseauxSociaux #BilanNumerique #SanteMentale #EtudesScientifiques #psychologiesociale #usagesdunumérique