Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

Nous aidons les parents et les professionnels à accompagner les jeunes de manière compétente dans leur usage des médias - afin que les enfants et les jeunes utilisent les médias numériques de manière sûre et responsable.
 

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« Mais c’était pour rire ! » « T’as pas d’humour ? » De nombreux enfants et jeunes ont déjà entendu de telles phrases pour justifier le harcèlement. Pourtant,…

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Comment les structures d’accueil de la petite enfance se servent-elles des médias numériques ? Comment sont utilisées les tablettes ou applications, par exemple…

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Netflix et TikTok ont la cote à l’école primaire

En Suisse, les enfants en âge de fréquenter l’école primaire consacrent la plus grande partie de leur temps…

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Toujours plus tôt, toujours plus souvent ? Accompagner les enfants et les jeunes dans leur utilisation des médias numériques

Mardi 9 mai 2023, 9 h–16 h 45,…

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| Bettina Bichsel

En général, lorsque les jeunes publient des photos sexy d’eux-mêmes sur Instagram, toutes nos alarmes se mettent à sonner. Mais exposer sa personne et son corps…

| Bettina Bichsel

Que ce soit à propos du COVID, de la guerre en Ukraine ou d’autres sujets, les fake news émergent tous les jours. Comment les démasquer ?

| Bettina Bichsel

Parfois drôles, parfois juste insensés... et parfois très dangereux, des défis YouTube et TikTok circulent sans cesse, surtout chez les jeunes.

| Bettina Bichsel

Les enfants considèrent les jeux sur ordinateur, tablette ou téléphone portable principalement comme un moyen de s’amuser.En tant que parents, nous devons y…

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👉Résumé: 
Dans cet article, la pédopsychiatre Anne...

[Lien avec l'intégralité l'article de @lepointfr dans notre bio] 👉Résumé: Dans cet article, la pédopsychiatre Anne Sénéquier donne des conseils pour aider les parents dont les enfants sont auteurs de harcèlement à l'école. Elle explique qu'il est important d'éviter une approche frontale et de poser des questions simples pour comprendre les raisons du comportement de l'enfant. Une fois les faits avérés, il est nécessaire de rappeler à l'enfant qu'il n'a pas le droit de harceler et que les règles existent pour protéger tout le monde. Les sanctions doivent être adaptées à l'âge de l'enfant et à la gravité de la situation. Anne Sénéquier souligne que l'enfant harceleur n'est pas foncièrement méchant, il peut souffrir d'une mauvaise estime de soi, d'un traumatisme ou d'une situation difficile. Il est donc important d'ouvrir un espace de dialogue pour comprendre ce qui se passe et aider l'enfant à surmonter sa souffrance. En outre, les faits de harcèlement sont souvent le résultat d'un effet de groupe, et il est important de comprendre la dynamique du groupe et de chercher à le démanteler. Enfin, Anne Sénéquier rappelle que tous les enfants ont besoin d'un cadre et qu'on leur rappelle les règles. Les parents doivent également éviter de minimiser la situation lorsque leur enfant victime de harcèlement vient leur parler d'un problème. Il est essentiel de prendre au sérieux la situation pour que l'enfant ne soit pas découragé de demander de l'aide à l'avenir. En somme, pour aider un enfant harceleur, il faut lui rappeler les règles, comprendre ses raisons, lui proposer des sanctions appropriées et lui ouvrir un espace de dialogue. Pour aider un enfant victime de harcèlement, il faut prendre la situation au sérieux et lui offrir un soutien émotionnel. Les règles sont importantes pour tous les enfants, car elles permettent d'établir un cadre sûr et cohérent dans lequel les enfants peuvent s'épanouir et grandir. #harcelementscolaire #harcèlement #enfantharceleur #pédagogie #dialogueparentsenfants #violencepsychologique #santémentale #vivreesemble

[Lien avec l'intégralité l'article de @heidi.news & Kylian Marcos dans notre bio]

👉Les reconnaissances faciales et...

[Lien avec l'intégralité l'article de @heidi.news & Kylian Marcos dans notre bio] 👉Les reconnaissances faciales et vocales sont développées partout autour de nous. Mais les données sur lesquelles elles reposent doivent être mieux protégées. Vous avez déjà utilisé un #filtresnapchat ? Déverrouillé votre téléphone avec votre visage? Parlé à Siri ou à Alexa? Alors les reconnaissances faciales et vocales font parties de votre quotidien. Mais attention, ces données sont précieuses. Pourquoi on en (re)parle. Dernièrement, un appel d’offres des @sbbcffffs à propos de #caméras pour analyser les mouvements des utilisateurs a fait débat. Et même si les CFF ont renoncé à utiliser cette technologie, son utilisation dans l’espace public en Suisse est techniquement possible. Mais alors, est-ce qu’on est déjà tous espionnés? L’utilisation d’assistants vocaux se répand dans l’espace privé: les enceintes intelligentes dans le salon, les assistants dans les voitures ainsi que dans les smartphones… Et vos données biométriques, dont font partie nos données faciales et vocales, dans tout ça? Ce sont des données personnelles comme les autres. Dans une étude sur le sujet, l’académie suisse des sciences émet notamment quelques réserves sur Alexa, #GoogleHome ou Jarvis dans Iron Man: Aux Etats-Unis, Amazon s'expose à une sanction financière pour ne pas avoir été plus respectueux des #donnéespersonnelles liées aux plus jeunes utilisateurs de son assistant vocal #Alexa. De son côté, #Apple promet que les données biométriques liées à l’utilisation de #FaceID sont sécurisées directement sur l’appareil. Le réseau social #TikTok se montre moins scrupuleux, s’autorisant à aller piocher des données d’utilisateurs, comme les traits du visage ou la voix. Et dans les autres pays, on en est où? La Suisse n’est pas le seul pays où ça fait débat. Aux Etats-Unis, Taylor Swift a déjà utilisé la #reconnaissancefaciale dans l’un de ses concerts, Paris réfléchissait à s’en servir pendant les Jeux olympiques 2024… Si Paris a écarté l’idée, la reconnaissance faciale a bien été utilisée au Qatar lors de la dernière Coupe du monde. (...) #donnéesbiométriques #vieprivée #littératienumérique

Lien avec l'intégralité l'article du @ledevoir dans notre bio, ainsi qu'avec deux contenus pédagogiques proposés par le...

Lien avec l'intégralité l'article du @ledevoir dans notre bio, ainsi qu'avec deux contenus pédagogiques proposés par le Service écoles-médias (SEM), de Genève] L'IA offre de nouvelles capacités pour s'attaquer à des problèmes sociaux tels que le décrochage scolaire. La plateforme d'apprentissage en ligne Moodle, utilisée par environ 80% des universités et cégeps du Québec, génère d'énormes quantités de données qui sont maintenant analysées par l'IA. Le professeur québécois Bruno Poellhuber a présenté sa recherche sur l'analyse prédictive pour détecter les étudiants à risque de décrochage scolaire. L'outil en développement utilise des réseaux neuronaux artificiels et des arbres de décision pour analyser les données de Moodle et donner du sens aux comportements des étudiants. Cependant, l'IA soulève des questions éthiques et pédagogiques. Les robots conversationnels, comme ChatGPT, ont été interdits par certaines institutions, considérés comme du plagiat. Le professeur Simon Collin de l'UQAM souligne l'importance d'évaluer dans quelle mesure l'IA soutient ou interfère dans le développement des compétences. Il estime que l'IA doit servir à soutenir les activités relationnelles en éducation et peut même leur donner plus de valeur en libérant du temps pour les enseignants. Bruno Poellhuber et d'autres professeurs ont déposé une demande de soutien pour créer un laboratoire vivant sur l'apprentissage du futur en enseignement supérieur. Ils cherchent à diversifier les méthodes pédagogiques en complément des cours magistraux et des évaluations traditionnelles. Voir aussi "ChatGPT dans l'enseignement" et "ChatGPT & Co, 4 mois après…" (liens dans notre bio). #ia #intelligenceartificielle #décrochagescolaire #moodle #chatgpt #guidechatgpt #enseignement #littéracienumérique #enseignementnumérique

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Les #réseauxsociaux, notamment #YouTube,...

[Lien avec l'intégralité l'article de @radiocanada & @afpfr dans notre bio] Les #réseauxsociaux, notamment #YouTube, #Instagram et #TikTok, sont devenus les premières sources d'information des jeunes, selon différentes études, comme celle de l’organisme de régulation britannique Ofcom publiée en juillet. En espagne moins de trois ans après sa création, @ac2ality est suivi par 4,3 millions de personnes, ce qui est largement supérieur au nombre d'abonnements de la plupart des grands médias sur ce réseau social. L'idée a émergé lorsque deux étudiantes à Londres ont eu l'impression de 2016 à 2020 de recevoir un trop-plein d'informations sur le Brexit. 👉 "Nous lisions un paquet d'articles [de journaux], mais nous n'arrivions pas à avoir une compréhension plus générale du sujet, raconte Gabriela Campbell, diplômée en biotechnologie de 26 ans. Si c'était difficile pour nous, cela devait l'être pour d'autres, explique-t-elle." En France, HugoDécrypte est l'un des comptes d'actualité les plus suivis et son fondateur, Hugo Travers, 25 ans, revendique, dans un entretien avec l'Agence France-Presse (AFP), savoir parler à une génération dont une partie décrochait [lorsqu'elle] suivait l'actualité dans les médias plus traditionnels. La Britannique @sophiasgaler, qui compte plus de 130 millions de vues sur son compte TikTok, où elle parle notamment de #santésexuelle. 👉 "Je suis ma propre rédactrice en chef [sur TikTok et] n'ai pas à convaincre un [...] gardien du temple qu'un sujet est important, explique cette journaliste de @viceworldnews de 28 ans, qui estime que les sujets importants pour les jeunes, comme ceux qu'elle aborde, sont trop peu couverts par les #médiastraditionnels." La popularité de ces comptes sur les réseaux, où les médias se battent pour notre attention, réside dans ses contenus au format court, didactiques, créatifs et au ton plus léger que celui des médias traditionnels. Toutefois, les 15 à 30 ans se tournent toujours vers les médias classiques, d’après Nic Newman. Quand vous parlez d'un sujet comme l'Ukraine, beaucoup de jeunes ne veulent pas que cela leur soit présenté par des personnes de 18 ans #consommationdesmédias #medialiteracy