Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

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Metta fin al mobing : c’est du romanche. Notre campagne contre le harcèlement et le cyberharcèlement « Not a joke » sera menée pour la deuxième fois ces…

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Qu'est-ce qui a occupé l'équipe de Jeunesse et Médias 2023 ? Que prévoyons-nous pour l'année à venir ? C'est ce que nous avons résumé ici pour vous.

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Depuis les attaques terroristes du Hamas contre Israël et la réaction de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, les agressions contre les personnes juives…

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La question du premier smartphone se pose tôt ou tard dans toutes les familles. Mais quel est le bon moment pour sauter le pas ?
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| Bettina Bichsel

Quand il s’agit de nos enfants, nous surveillons scrupuleusement le temps consacré aux médias. Qu’en est-il de notre propre utilisation des médias numériques ?

| Bettina Bichsel

Chaque nouvelle hausse du bitcoin fait les gros titres. Est-il vraiment si simple de s’enrichir rapidement ?

| Bettina Bichsel

Lisa (nom d’emprunt) a 17 ans. Mais elle est différente des jeunes de son âge : Lisa s'appuie sur les outils numériques.

| Noëmi Pommes

Sur Snapchat, ma fille de 13 ans reçoit presque chaque jour des demandes de photos d’elle nue. Elle refuse toujours, mais jusqu’à quand ?

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[Liens avec les 5 podcasts de l'émission @rts_vacarme, de la @radiotelevisionsuisse, ainsi qu'avec notre dossier...

[Liens avec les 5 podcasts de l'émission @rts_vacarme, de la @radiotelevisionsuisse, ainsi qu'avec notre dossier thématique, dans notre bio] 👉 (1/5) Des larmes dans les cartables Le #harcèlement n'est pas un conflit classique entre élèves. C'est un phénomène répété sur une longue période, dans le cadre d'une relation asymétrique, et qui implique un.e intimidateur.ice, des témoins et une cible. Pour en décrypter les rouages, des jeunes montent une pièce de théâtre sous la direction d'Anne Jeger, psychologue de l'Association Via. 👉 (2/5) Tolérance zéro Depuis quelques années, les établissements scolaires des cantons romands utilisent la méthode dite de #préoccupationpartagée, une méthode non blâmante initiée dans les pays nordiques qui vise à casser la dynamique du harcèlement. La méthode permet de prévenir et de résoudre des situations critiques, avec de jeunes enfants comme avec les plus grands. 👉 (3/5) La loi de l'attente Ce mercredi après-midi, les ambassadeur.ices de la Conférence romande des enfants font le voyage au Parlement fédéral à Berne. Objectif: faire part de leurs recommandations face au harcèlement entre élèves et rencontrer la conseillère nationale Christine Bulliard-Marbach, convaincue de la nécessité de modifier le Code pénal, qui ne contient pas (encore) d'article spécifique au harcèlement. 👉 (4/5) Jouer avec le feu Au Collège de la Fontenelle, à Cernier, Daniel Favre intervient pendant deux heures auprès des élèves de 9e Harmos pour sensibiliser au #cyberharcèlement et #libererlaparole des élèves, qui peuvent le contacter par la suite. Pour ce responsable prévention de la criminalité de la @police.neuchateloise, cette mission représente un vrai sacerdoce. 👉 (5/5) La dernière lettre de Marion #MarionFraisse a un peu plus de 13 ans quand, le 13 février 2013 en début d'après-midi, elle met fin à ses jours. Sa mère, "pour donner du sens à ce qui n'en a pas", a raconté dans un livre le calvaire de sa fille. Aujourd'hui, Nora Fraisse se bat pour aider les victimes de #harcèlementscolaire. Via Reportage: Véronique Marti Réalisation: Jérôme Nussbaum Production: Marc Giouse

[Lien avec l'intégralité de l'article de Marie Danet, Maîtresse de conférence en psychologie - HDR, Université de Lille,...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Marie Danet, Maîtresse de conférence en psychologie - HDR, Université de Lille, pour @theconversation.fr, dans notre bio] [Résumé de l'article] Les outils numériques font désormais partie intégrante du quotidien des familles, influençant les interactions entre parents et enfants. Leur impact varie selon divers facteurs tels que la qualité des liens, la dynamique familiale, l'environnement de vie, le stress parental et l'âge de l'enfant. Si ces technologies peuvent parfois créer des obstacles à la communication, notamment chez les jeunes enfants, elles offrent aussi de nouveaux canaux d'échange. Le co-visionnage de contenus, par exemple, permet aux parents de stimuler l'attention, la curiosité et le vocabulaire de leur enfant. L'acquisition du premier téléphone portable, vers 9 ans et 9 mois en moyenne en France, marque un tournant dans la vie et la communication familiale. Les parents l'offrent souvent pour assurer la sécurité de leur enfant, mais aussi pour favoriser son autonomisation et maintenir le contact. Les échanges par messagerie ou réseaux sociaux se banalisent, permettant de transmettre rapidement des informations, partager des moments vécus ou des émotions, gérer des conflits et aborder des sujets sensibles. Cependant, les interactions en face-à-face restent essentielles pour une relation parent-enfant sécure et des conversations approfondies. Les échanges textuels, souvent brefs, ne peuvent s'y substituer totalement. Leur usage varie selon le type de communication présent dans la famille et le motif : les adolescents préfèrent les messages pour les questions logistiques, mais les appels pour exprimer des émotions ou rechercher du soutien. Ces échanges virtuels participent néanmoins à leur processus d'autonomisation et à l'apprentissage de nouveaux codes conversationnels. #CommunicationDigitale #parentenfant #technoference #premiersmartphone #educationnumerique #relationsfamiliales #smartphones

[Lien avec l'intégralité de l'article de Bettina Bichsel, ainsi qu'avec des conseils pour les jeunes et les parents,...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Bettina Bichsel, ainsi qu'avec des conseils pour les jeunes et les parents, dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] ▶ [Résumé de l'article] Chaque nouvelle hausse du bitcoin fait les gros titres. Et les réseaux sociaux colportent l’idée que si l’on ne s’y met pas tout de suite, le train pour devenir millionnaire partira sans nous. Est-il vraiment si simple de s’enrichir rapidement ? Les cryptomonnaies, telles que le bitcoin, font fréquemment la une grâce à des histoires de gains rapides et spectaculaires. Les récits alléchants d'enrichissement rapide abondent, allant de jeunes enfants devenant millionnaires grâce au minage de cryptomonnaies, à des individus abandonnant leur profession pour se consacrer entièrement à la spéculation crypto. La réalité est bien différente et beaucoup plus risquée. Le bitcoin, en particulier, a connu une série de hauts et de bas spectaculaires depuis sa création. Cette volatilité rend les cryptomonnaies des investissements à haut risque, susceptibles à d'énormes fluctuations de prix que personne ne peut prévoir avec certitude. Les risques associés aux cryptomonnaies ne se limitent pas seulement à leur instabilité. Le domaine des cryptomonnaies attire également des activités illégales comme le blanchiment d'argent, le trafic d'armes et de drogues, ainsi que des tentatives de piratage. Le marché des cryptomonnaies commence seulement à être régulé, exacerbant les risques de manipulations. 👉 "La spéculation à haut risque présente un fort potentiel de dépendance : on est toujours sûr de gagner le gros lot à la prochaine mise." /Bettina Bichsel, Jeunes et médias Il est donc important de souligner que la #spéculation dans les cryptomonnaies peut également créer une #dépendance, similaire à celle expérimentée par les joueurs de casino. Les pertes peuvent inciter les investisseurs à "se refaire", menant potentiellement à un endettement grave. Par conséquent, l'investissement dans les #cryptomonnaies ne devrait jamais être pris à la légère. #Cryptomonnaie #Bitcoin #cybercriminalité #joueurcompulsif

[Liens avec l'intégralité de l'article de Miruna Coca-Cozma/fgn, pour la RTS, ainsi que notre article de blog « Sur le...

[Liens avec l'intégralité de l'article de Miruna Coca-Cozma/fgn, pour la RTS, ainsi que notre article de blog « Sur le chemin pour devenir un homme, nos jeunes sont passablement laissés à eux-mêmes. » dans notre bio] ▶ [Résumé] Les discours masculinistes, qui véhiculent des propos misogynes, banalisent les #agressionssexuelles, appellent au viol et propagent des clichés et fausses informations, prennent de l'ampleur sur les réseaux sociaux tels que TikTok, Instagram, Facebook ou YouTube. Cette idéologie, qui cherche à faire des adeptes de plus en plus jeunes, affirme que la masculinité traditionnelle traverse une crise et que les femmes sont responsables de tous les problèmes des hommes. Dans la "#manosphère", différentes sous-communautés se créent, comme les "Incels" (célibataires involontaires), les "MGTO" (Men Going Their Own Way) ou encore les adeptes de la "red pill", qui prônent la sortie d'une société trop féminisée. Auparavant cantonnés à des forums obscurs, les masculinistes s'affichent désormais sur des médias sociaux populaires, où ils diffusent des contenus a priori inoffensifs, comme des conseils de vie, de séduction ou de musculation, excluant par définition les femmes. Cependant, ils peuvent ensuite glisser vers une radicalisation de leurs propos, sous-entendant que les femmes seraient toutes pareilles, vénales et mentiraient dans le but d'anéantir la gent masculine. Les jeunes, en particulier ceux âgés de 18 à 24 ans, sont la cible privilégiée des #masculinistes. Souvent, ils ont eu une première expérience difficile ou n'ont pas pu en avoir du tout, et trouvent dans ces espaces en ligne un soutien et des discours qui les rassurent et confirment leurs ressentiments envers les femmes. Un phénomène de "chambre d'écho" se crée, formant un cocon sécurisant autour de l'individu, avec une double fermeture relationnelle et informationnelle. Ces discours problématiques utilisent la stratégie du "pied dans la porte" dans le but de radicaliser les jeunes, en commençant par des concepts inoffensifs qui répondent à de vraies souffrances, pour ensuite offrir des réponses simplistes et #misogynes. #sexisme #réseauxsociaux #masculinitétoxique