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[Lien avec l'intégralité de notre article dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] [Résumé] Les #jeuxenligne sont devenus une source majeure de #divertissement pour de nombreuses personnes, en particulier les enfants. Ces jeux, accessibles via des ordinateurs, des tablettes ou des téléphones portables, offrent une variété d'expériences, allant des jeux sur navigateur web aux applications nécessitant une connexion Internet. Bien que ces jeux soient principalement conçus pour le divertissement, ils développent également diverses compétences telles que la #penséestratégique, la motricité fine, le travail d'équipe et la créativité. Cependant, jouer en ligne présente des défis uniques. Contrairement aux jeux traditionnels où l'on joue seul ou avec des amis proches, les jeux en ligne connectent les joueurs à des personnes du monde entier. Cela peut conduire à des interactions positives, mais aussi à des risques tels que le #cyberharcèlement, le #cybergrooming et l'exposition à des contenus inappropriés. La protection des données est un autre aspect crucial. Lors de la création d'un profil pour jouer, il est recommandé d'utiliser un pseudonyme plutôt que son vrai nom et d'éviter de fournir des informations personnelles telles que le numéro de téléphone. De plus, il est essentiel de faire attention aux paramètres de confidentialité. Les jeux en ligne peuvent également présenter des "pièges à coûts". Bien que de nombreux jeux soient initialement gratuits, ils peuvent inciter les joueurs à effectuer des achats intégrés, souvent déguisés en monnaie du jeu, pour obtenir des avantages ou progresser. Enfin, la plateforme #Twitch, populaire pour regarder d'autres personnes jouer, présente ses propres défis. Bien qu'elle permette aux utilisateurs de se rapprocher de leurs idoles du jeu, elle peut également les exposer à des #contenusinappropriés ou violents. De plus, Twitch offre la possibilité de faire des dons aux #streamers, ce qui peut également devenir un piège à coûts. Il est essentiel que les parents et les tuteurs soient conscients de ces risques et discutent avec leurs enfants des meilleures pratiques pour jouer en ligne

[Lien avec l’intégralité de l’article de Maïna Boutmin via @tipikrtbf pour la @rtbf, dans notre bio]

[Résumé de...

[Lien avec l’intégralité de l’article de Maïna Boutmin via @tipikrtbf pour la @rtbf, dans notre bio] [Résumé de l'article] Au-delà des photos, le #sexting s’est répandu : selon un sondage en ligne réalisé par la RTBF auprès d’un échantillon représentatif de 1000 francophones en 2022, 49% des jeunes de 16 à 30 ans ont déjà envoyé un sexto et 59% en ont déjà reçu. Si la pratique est plébiscitée, elle n’est pas sans risque et nombreux sont ceux qui vous conseilleraient de masquer votre visage pour ces photos intimes. Malgré tout, quand cela se passe bien, les échanges de clichés dénudés peuvent aussi instaurer de moment de complicité entre les partenaires, ou encore renforcer l’estime de soi. L'envoi de photos intimes, communément appelé "nudes", est devenu une pratique courante, en particulier chez les jeunes. Cependant, cette pratique soulève des questions sur la notion de consentement, l'intimité et l'estime de soi. L'envoi de #nudes peut être perçu comme un moyen d'exprimer sa confiance en soi et sa liberté, mais il est essentiel de s'assurer que ces photos ne sont pas partagées sans le consentement de la personne concernée. Le partage non consensuel de ces images peut avoir des conséquences graves, tant sur le plan légal que psychologique. Il est important de comprendre que le #consentement est un élément clé dans cette pratique. Envoyer une photo intime sans le consentement de la personne qui la reçoit est une violation de l'intimité. De même, partager une photo reçue sans le consentement de la personne qui l'a envoyée est tout aussi problématique. Les conséquences juridiques de ces actes peuvent être sévères. L'article souligne également l'importance de l'éducation à la sexualité et de la sensibilisation aux risques associés à l'envoi de nudes. Les jeunes doivent être informés des dangers potentiels et des conséquences de leurs actions. Ils doivent également être encouragés à réfléchir avant d'envoyer des photos intimes et à s'assurer qu'ils le font en toute connaissance de cause. #consentementéclairé #estimedesoi #photosintimes #revengeporn #pornodivulgation #educationsexuelle #vieintime

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[Lien avec l'intégralité de notre article dans notre bio ou directement sur notre site: www.jeunesetmedias.ch/blog/] [Résumé de l'article] Le harcèlement, qu'il soit en ligne ou hors ligne, est un problème sérieux qui affecte un grand nombre de jeunes. Souvent, les actes de harcèlement sont minimisés et présentés comme de simples plaisanteries, laissant les victimes se sentir incomprises et isolées. Selon l'étude #JAMES menée par la @zhaw, plus d'un tiers des jeunes ont déjà été victimes de rumeurs ou de fausses informations diffusées à leur sujet en ligne. De plus, près d'un tiers des jeunes de 12 à 19 ans ont déclaré avoir été menacés en ligne. Nina Hobi, responsable de projet chez Jeunes et médias, souligne que le harcèlement est souvent minimisé, non seulement par les auteurs, mais aussi par certains adultes. Cette minimisation peut avoir des conséquences dévastatrices pour les victimes, car le #harcèlementenligne peut être incessant, se propageant rapidement et étant difficile à effacer. Les victimes peuvent se sentir impuissantes, ce qui peut entraîner des problèmes de confiance en soi, de l'anxiété, de la dépression et même des #penséessuicidaires. La campagne "@_not_a_joke._" vise à sensibiliser les jeunes à la gravité du harcèlement et à encourager un changement de mentalité. Elle s'adresse à trois groupes : les témoins, les auteurs et les victimes. L'objectif est d'encourager les témoins à intervenir, de faire comprendre aux auteurs la gravité de leurs actes et d'offrir du soutien aux victimes. La campagne utilise des plateformes populaires auprès des jeunes, comme Instagram et TikTok, et s'appuie sur des influenceurs pour diffuser son message. Nina Hobi insiste sur l'importance de l'authenticité dans la communication de la campagne. En conclusion, il est essentiel d'adopter une approche globale pour lutter contre le harcèlement, impliquant à la fois les jeunes, les adultes, les parents, les enseignants et les directions d'école. Il est crucial d'enseigner le respect dès le plus jeune âge et de créer un environnement où le harcèlement n'est pas toléré. #harcelement #harcelementscolaire #notajoke #Cyberharcèlement #soutienauxvictimes

[Lien avec l’intégralité de l’article de Maurine Briantais pour commentcamarche.net, dans notre bio]

[Résumé de...

[Lien avec l’intégralité de l’article de Maurine Briantais pour commentcamarche.net, dans notre bio] [Résumé de l'article] "Les émojis sont devenus une partie intégrante de notre communication quotidienne, que ce soit dans les échanges personnels ou professionnels. Ces petites illustrations, présentes dans diverses plateformes de messagerie comme WhatsApp, Messenger, Telegram, et même dans les logiciels de collaboration comme Teams et Slack, permettent d'exprimer nos émotions et pensées de manière concise. Cependant, il est crucial de comprendre que tous les émojis n'ont pas une signification universelle et que certains peuvent avoir un double sens. Bien que des émojis comme le visage riant ou le pouce levé soient largement reconnus pour leurs significations positives, d'autres ont été détournés pour exprimer des connotations plus suggestives ou ironiques. Par exemple, l'émoji aubergine est souvent associé à des connotations sexuelles plutôt qu'au légume lui-même. De même, l'émoji pêche peut être interprété comme une référence à un postérieur, tandis que des émojis comme la banane et les cerises peuvent avoir des sous-entendus similaires. D'autres émojis, comme le visage avec un sourire en coin, peuvent être associés à du flirt ou à des allusions plus adultes. Au-delà des connotations sexuelles, certains émojis peuvent également être utilisés pour exprimer du sarcasme ou de l'ironie. Par exemple, l'émoji souriant peut être utilisé de manière sarcastique, tout comme le pouce levé peut parfois signifier du désintérêt. L'émoji qui pleure de rire est souvent utilisé pour signifier que quelque chose est extrêmement drôle, tandis que l'émoji tête de mort peut avoir plusieurs significations, allant de la mort à l'absurdité. En conclusion, il est essentiel de comprendre le contexte et la culture de la personne avec laquelle on communique pour éviter les malentendus. Les émojis, bien que pratiques, peuvent parfois prêter à confusion et il est donc recommandé de les utiliser avec discernement." #Emojis #outilsnumériques #emojiculture #littératienumérique #compétencesmédiatiques #educationaunumerique #espritcritique